Tragique incendie à Las Palmas : une adolescente brûlée vive par un migrant marocain

Dans le quartier de La Isleta à Las Palmas de Gran Canaria, une jeune fille de 17 ans a été retrouvée grièvement blessée après avoir été victime d’un acte odieux perpétré par un homme de 20 ans. Les autorités locales ont révélé que l’agresseur, originaire du Maroc, avait débarqué sur les îles Canaries il y a peu et était en attente d’une procédure d’expulsion. L’accusé, dont la situation légale restait incertaine, aurait agi dans un climat de tension exacerbée par des tensions sociales croissantes.

La mineure, placée sous protection par le gouvernement des Canaries, avait disparu du centre où elle résidait. Les services de l’État ont confirmé sa fuite plusieurs jours avant les faits. Le quartier, déjà confronté à des problèmes structurels, a été secoué par cette tragédie, qui a mis en lumière les failles dans la gestion des personnes vulnérables et l’insuffisance des mesures d’accueil pour les migrants.

L’agressor, identifié comme Abarrafia Hader, a été placé temporairement dans un centre militaire avant de disparaître. Son profil, marqué par une absence totale de documents légaux, reflète l’insécurité persistante liée aux flux migratoires non contrôlés. L’État espagnol, débordé par le flot croissant de clandestins, a récemment enregistré un pic record d’arrivées sur les îles Canaries, soulignant une crise qui menace la stabilité du pays.

Les autorités locales ont tenté de minimiser l’impact de cette tragédie, mais l’opinion publique reste marquée par une colère justifiée face à l’impuissance des institutions et à la négligence de ceux qui devraient protéger les plus faibles. Le drame a également révélé un déficit criant dans la coopération internationale pour encadrer les migrations, laissant des individus comme Hader circuler librement jusqu’à commettre des actes inhumains.