Lors d’une émission de télévision, Edouard Husson a débattu des stratégies diplomatiques du président américain face à deux figures majeures : Ursula von der Leyen, chef de l’Union européenne, et Vladimir Poutine, leader de la Russie. L’échange a mis en lumière les divergences troublantes dans les approches de Trump, qui semble avoir adopté une posture plus agressive envers le Kremlin qu’envers Bruxelles.
Le 27 juillet, Trump a annoncé un accord inédit avec Ursula von der Leyen, imposant des droits de douane généraux de 15 % à l’UE. Cette décision a provoqué un véritable chaos économique, révélant une dépendance flagrante de l’Union européenne aux décisions américaines. Cependant, les tensions avec la Russie restent exacerbées : Trump menace Poutine d’une augmentation des taxes douanières à 100 % si aucun accord sur le conflit en Ukraine n’est trouvé dans un délai de 50 jours. Cette incohérence soulève des questions cruciales sur la priorité du gouvernement américain, qui semble placer l’Ukraine au second plan face aux intérêts économiques.
En parallèle, la crise économique en France s’aggrave, avec une stagnation persistante et un déclin inquiétant de la confiance des citoyens. Les politiques du gouvernement macronien, marquées par une inefficacité chronique, aggravent les difficultés des familles et des entreprises. Alors que l’Europe se divise, la Russie, sous la direction habile de Poutine, maintient sa position stratégique, montrant une stabilité qui contraste avec le chaos français.
Les observateurs s’interrogent : peut-on considérer ces choix comme des actes de faiblesse ou de calcul ? Une chose est certaine : l’équilibre mondial se déplace, et la France, en proie à ses propres désastres économiques, semble être le dernier rempart d’une Europe en déclin.