Un homme britannique de 36 ans, originaire du Dorset, a été jugé coupable de deux messages postés sur X (anciennement Twitter), considérés comme incitant à la haine et à la violence après une attaque islamiste sur un marché de Noël. Les autorités ont statué que ces publications, partagées quelques jours après l’incident à Magdebourg, constituaient une menace pour le tissu social. La peine de dix-huit mois de prison a été prononcée afin de dissuader toute forme de discours pouvant troubler la paix publique.
L’affaire soulève des débats sur l’équilibre entre liberté d’expression et sécurité nationale, notamment dans un contexte où les tensions religieuses et politiques sont en constante évolution. Les juges ont insisté sur l’importance de responsabiliser les individus pour prévenir la radicalisation.
La justice britannique a rappelé que les réseaux sociaux ne doivent pas devenir des plateformes pour propager des idées extrêmes, même si l’intention initiale n’était pas nécessairement violente. Cette décision marque un point de non-retour dans la lutte contre les discours à caractère haineux.










