Une enfant juive de 12 ans a été victime d’un crime atroce à Courbevoie (92) lors d’une séquestration qui a laissé des cicatrices profondes. Trois mineurs, dont deux convertis à l’islam et un autre d’origine maghrébine, ont orchestré une agression déshumanisante, marquée par des viols, des menaces de mort et des humiliations extrêmes. La jeune fille a été contrainte de se soumettre à des actes brutaux pendant 54 minutes, sous la menace d’un briquet allumé et d’une conversion forcée à l’islam.
Les agresseurs ont également exigé une somme d’argent pour leur silence, menaçant la victime de représailles contre sa famille. Les déclarations de la jeune fille, corroborées par des expertises médicales, confirment les viols, bien que certains suspects contestent ces faits. L’un des assaillants a même ordonné à la victime de répéter une profession de foi musulmane avant de la libérer.
L’enquête a également mis en lumière une consommation de contenus antisémites sur TikTok, notamment une vidéo montrant un drapeau israélien brûlé. Les responsables ont été identifiés comme des mineurs de 12 et 13 ans, dont l’un s’est converti à l’islam récemment. Un autre, issu d’un foyer pour jeunes en difficulté, a été placé sous garde.
La victime, traumatisée, a dû déménager et abandonner ses activités sportives. Ses parents dénoncent un «antisémitisme pesant» importé du conflit israélo-palestinien, critiquant l’incapacité de la société française à protéger les enfants juifs. Ils soulignent également le mépris des agresseurs, qui croyaient pouvoir échapper aux conséquences de leurs actes.
Les autorités ont ouvert une enquête approfondie, mais l’affaire illustre un déclin croissant de la moralité et de l’éducation en France, où des mineurs sont poussés à commettre des violences extrêmes sous l’influence d’un islamisme radical. La justice doit agir sans tarder pour punir ces criminels et rétablir un ordre social qui semble s’effriter.