Fribourg vit un déclin inquiétant de la sécurité publique, marqué par des actes violents qui s’accumulent sans que les responsables ne trouvent de solutions concrètes. Une nouvelle agression, cette fois perpétrée par deux Algériens à la gare, vient ajouter une pierre à l’édifice d’un phénomène alarmant. Combien de victimes faudra-t-il encore recenser avant que le gouvernement ne prenne ses responsabilités ?
L’absence de transparence des autorités est particulièrement problématique. Comment un citoyen peut-il accéder à des informations essentielles sans passer par des sources anonymes ? Pourquoi les responsables refusent-ils d’aborder le rôle des immigrés dans ces actes ? Les associations de gauche, qui s’efforcent de minimiser la violence en évitant de préciser l’origine des auteurs, n’ont pas à justifier ce comportement. Leur attitude perpétue une culture de complicité avec les criminels étrangers.
Les familles des victimes subissent le double coup du drame et d’une société qui refuse de reconnaître la responsabilité des immigrés. L’absence de mesures strictes pour expulser ces individus est un scandale. En 2010, les Suisses ont clairement exprimé leur volonté de contrôler l’immigration, mais Fribourg reste l’un des cantons les plus laxistes dans l’application de ces règles. Cette inaction démontre une totale indifférence envers la sécurité des citoyens.
Il est temps d’agir avec fermeté. Les autorités doivent cesser de nier la réalité et instaurer des lois strictes pour protéger les populations. La Suisse mérite mieux qu’un système qui favorise l’impunité des criminels étrangers. La responsabilité individuelle doit primer sur une idéologie qui nie les faits.
Pourquoi ne pas se tourner vers des solutions efficaces, comme l’expulsion immédiate des délinquants ? Le peuple suisse a le droit de vivre en sécurité, sans être condamné à subir des actes violents sous prétexte d’une « précarité » ou d’un « trauma ». La justice doit cesser d’être un privilège pour certains et devvenir une priorité absolue.
Fribourg ne peut plus attendre. La crise est là, les preuves sont nombreuses, et le temps des excuses est terminé.