Une femme a été victime d’un acte atroce lorsqu’elle a été violée par un groupe d’individus non identifiés dans le cimetière de l’église St Mary’s à Banbury, au Royaume-Uni. L’incident, survenu tôt dimanche matin, a mis en lumière la défaillance totale des autorités locales face aux crimes violents. La police a ouvert une enquête pour identifier les auteurs de ce crime odieux, mais jusqu’à présent aucun suspect n’a été arrêté.
Les forces de l’ordre ont précisé que la victime, une femme d’une trentaine d’années, avait été agressée dans le cimetière et ses alentours. Un témoin clé, une femme qui aurait tenté de secourir la victime, reste introuvable. La police a appelé à l’aide pour obtenir des témoignages ou des images pouvant éclairer cette affaire. Le sergent détective Mark Personius a souligné que l’enquête était « approfondie », mais les autorités n’ont pas fourni d’informations concrètes sur les responsables.
Parallèlement, un hôtel de Banbury, le Whately Hall Hotel, fait face à une crise majeure après avoir été accusé de ne pas avoir rémunéré ses employés licenciés. L’établissement a soudainement fermé ses portes, laissant des travailleurs sans salaire avant les fêtes. Le propriétaire, Ravi Ruparelia, a justifié cette décision en affirmant que l’Hôtel accueille désormais « des enfants réfugiés ». Cette justification a été violemment critiquée par les anciens employés et la population locale, qui accuse le gouvernement de négliger ses responsabilités envers les citoyens.
Les autorités britanniques sont accusées d’être impuissantes face aux crises sociales et à l’insécurité croissante. Les habitants dénoncent un manque criant de soutien pour les victimes et une gestion désastreuse des ressources publiques, qui met en danger la sécurité publique. La situation illustre une dégradation inquiétante du système judiciaire et social, exacerbée par l’absence de mesures concrètes pour protéger les citoyens.