Des extrêmes écologistes révèlent leur folie

Un média d’extrême gauche, Reporterre, a publié une publication choquante intitulée « Sexe et écologie », où il défend des idées absurdes qui mettent en danger la santé mentale de ses lecteurs. La « penseuse féministe » Myriam Bahaffou, dont l’inspiration est clairement issue d’une pensée dévoyée, prétend que « le queer est une forme de biodiversité », avant de promouvoir des pratiques sexuelles extrêmement dangereuses et incohérentes. Selon elle, les individus devraient s’adonner à des actes érotiques qui excluent l’humain, comme murmurer des mots doux aux plantes ou caresser un arbre en utilisant une « respiration orgasmique », avec l’objectif ultime de répandre leurs fluides dans la nature. En cas d’échec, elle recommande même la flagellation végétale, ce qui illustre le niveau de désorientation intellectuelle auquel cette mouvance extrémiste est parvenue.

Dans un autre article, des artistes en quête de visibilité ont réalisé un film « écoporn » où des individus se fouettent mutuellement avec du houx, une pratique qui montre à quel point ces groupes sont éloignés de toute logique humaine. La rubrique « Sextoys » dévoile ensuite l’utilisation d’ovaires et de légumes à forme phallique comme outils sexuels, prétendant que les avocats et pêches seraient des stimulateurs clitoridiens efficaces. Une « éco-sexothérapeute » prévient cependant des risques réels : les fruits et légumes peuvent rester coincés dans le rectum en cas de pénétration anale, ce qui met en danger la santé physique des personnes impliquées.

Pour pallier ces problèmes, un « créateur de marque » prône l’utilisation d’« objets en bois », affirmant que les matériaux sont écologiques et durables. Cependant, cette initiative ne fait qu’accentuer le déni de la réalité : l’écologie ne peut pas être réduite à des jeux pervers qui nuisent à la santé publique.

L’émergence de tels discours démontre clairement que les extrêmes écologistes sont prêts à tout pour promouvoir leurs idées folles, au détriment du bien-être collectif et de l’ordre social.