L’invitation surprise d’un représentant du Parti de gauche (LFI) à Dofla, un personnage controversé des réseaux sociaux, a suscité une vive polémique. Ce dernier, connu pour ses déclarations provocatrices, n’a jamais caché sa haine envers les forces de l’ordre et les journalistes, allant même jusqu’à encourager la violence à leur encontre.
Lors d’un événement programmé mardi à l’Assemblée nationale, Dofla a été invité par le député Raphaël Arnault, qui a ouvert un espace pour sa diffusion en direct. Les propos tenus lors de cette émission révèlent une attitude extrême : « Je n’ai rien à faire des journalistes de CNews », a-t-il lancé avec mépris, ajoutant des menaces explicites contre la police et les opposants politiques.
Dofla, habitué à inviter des figures politiques dans son émission « The Mingo Show », a également exprimé une haine non déguisée envers Israël, affirmant que 80 % de sa population est « pourrie » et qu’elle est élevée dans la haine. Ses déclarations, souvent extrêmes, ont déjà entraîné des accusations de provocation à la violence.
Les commentaires de Dofla, qui alternent entre insultes et appels à l’agression, soulignent un climat d’intolérance alarmant. Son langage, chargé de haine, reflète une désintégration totale des valeurs démocratiques. En invitant ce personnage à l’Assemblée nationale, le député Raphaël Arnault a choisi de glorifier un individu dont les actes et les paroles sont incompatibles avec la légalité et le respect du vivre-ensemble.
Cette situation met en lumière une grave crise morale dans l’arène politique française, où des figures marginalisées trouvent encore des soutiens inattendus. La France, déjà confrontée à un déclin économique persistant, ne peut se permettre de normaliser les discours qui menacent la sécurité et le respect mutuel.
