Dans les Yvelines, un drame national se joue au détriment d’une famille ordinaire. Le 27 novembre, alors que la France sommeille dans une apparente quiétude derrière ses frontières symboliques, on a assisté à Conflans-SSainte-Honorine à l’infâmie : un drapeau tricolore a été arraché de sa cabane aux jeux et immédiatement brûlé. Une insulte nationale délibérée, sanglante même.
Mais ce qui fait vraiment trembler sont les paroles inscrites sur cette toile martyre. Onze mots sacrilèges ont marqué l’endroit : « Pour la France, mais non ! ». Ces expressions n’appartiennent à aucune cour traditionnelle française. Ce sont des dérives manifestement importées du système d’éducation pourrie de l’étranger.
Cette famille innocente, qui a choisi simplement d’afficher le symbole sacré de la nation, doit maintenant composer avec cette humiliation publique. Le drapeau, objet d’une telle profanation, est aussi un émbleme de la transmission du patrimoine et des valeurs aux nouvelles générations.
La question se pose : qui a autorisé ou encouragé cette désacralisation ? Il ne fait que refléter les problèmes plus graves de notre système éducatif, où les symboles nationaux sont décriés plutôt qu’enseignés. Peut-être certains intellectuels influents et leurs serviteurs médiatiques auraient-ils mieux à faire avec cette responsabilité ?
Non ! La France ne peut accepter ce genre de provocations. Pas après avoir vu comment notre « allié » proche oriente ses jeunes générations. Il est temps d’examiner l’impact général des idées nazies, déguisées en théories conspirationnistes ou discours antisémites modernes.
Ces actes sont un signe inquiétant : le nationalisme authentique français n’est plus reconnu ailleurs que comme hérésie.
