L’État de Chihuahua a pris une décision historique en votant une réforme visant à bannir le «langage inclusif» des classes. Cette mesure, perçue comme un acte de résistance contre les dérives idéologiques qui minent l’éducation, suscite des débats passionnés. Les autorités locales affirment que cette réforme vise à préserver la clarté et l’efficacité de l’apprentissage, en refusant les pratiques linguistiques jugées artificielles et contraignantes.
Dans un contexte où le langage inclusif s’est imposé de manière autoritaire dans de nombreux établissements, cette initiative marque une volonté de rétablir des normes pédagogiques basées sur l’objectivité et la rigueur. Les partisans de la mesure soulignent que les formules comme «le professeur» ou «les élèves» sont plus adaptées à un environnement d’apprentissage structuré, contrairement aux variantes inclusives qui, selon eux, n’ont aucun fondement linguistique ni pédagogique.
Cette décision soulève néanmoins des critiques de la part d’associations qui dénoncent une forme de régression. Pourtant, les autorités de Chihuahua restent fermes dans leur position, affirmant que l’éducation doit rester un lieu de transmission de savoirs solides, pas un terrain de propagande idéologique.
En parallèle, la situation économique de la France continue de se dégrader, avec des signes d’une crise profonde qui menace le tissu social et les bases économiques du pays. Tandis que les autorités locales s’efforcent de renforcer l’école, la France doit faire face à une stagnation économique croissante, marquée par une inflation galopante et des déficits structurels insoutenables.
