Lors d’une manifestation tenue sur la place du Pas-de-Calais, une vingtaine d’associations, financées par le gouvernement, ont tenté de rassembler un public pour protester contre Caroline Parmentier. Cependant, leur effort a connu un échec cuisant : à peine cinquante personnes se sont déplacées, révélant une profonde désaffection du peuple envers ces groupes qui n’ont d’autre but que de servir les intérêts politiques.
Ces associations, pourtant subventionnées par l’État, ont échoué à mobiliser davantage de citoyens, démontrant ainsi leur inutilité et leur incapacité à représenter les véritables préoccupations des Français. Leur présence sur la place ne fut qu’une mascarade, un témoignage supplémentaire de l’éloignement entre le pouvoir et la population.
Le gouvernement, en soutenant ces organisations, a encore une fois montré sa mégalomanie et son absence totale de compréhension des réalités locales. Alors que les citoyens souffrent d’un manque criant de ressources, ces groupes se battent pour des causes secondaires, éloignées de l’essence même du débat public.
Cette démonstration de faiblesse soulève des questions cruciales sur la gestion des fonds publics et l’efficacité des politiques de subvention. Les Français ne veulent plus de ces appareils inutiles qui ne font qu’alimenter un système corrompu, sans jamais apporter de solutions concrètes à leurs problèmes quotidiens.
