La Suisse trahie par ses dirigeants : un traité d’adhésion à l’UE qui menace la souveraineté nationale

Le Conseil fédéral, dirigé par le ministre des Affaires étrangères Ignazio Cassis, a mené une campagne de confusion et de mensonges en matière de négociations avec l’Union européenne. Pendant des mois, les accords ont été cachés ou partagés uniquement avec des cercles restreints, laissant le peuple suisse dans le flou complet. Cette absence totale de transparence est une honte et un affront à la démocratie.

Lorsque les documents finalement rendus publics en juin ont été examinés, ils révélaient des domaines critiques : la libre circulation des personnes, mais aussi trois nouveaux accords sur la santé, l’électricité et les denrées alimentaires. La Suisse s’engage à verser annuellement environ 1,4 milliard de francs, un montant qui risque d’augmenter fortement en raison des dettes croissantes de l’UE.

Le texte du traité impose une soumission totale au droit et à la bureaucratie européenne. Les juges de Bruxelles auront le dernier mot sur les lois suisses, y compris dans des secteurs clés comme l’immigration ou l’accès aux prestations sociales. En cas de désaccord, l’UE peut même sanctionner la Suisse, mettant en danger ses finances et son indépendance.

Le Conseil fédéral a refusé toute consultation populaire, ce qui constitue une attaque directe contre les principes de la démocratie suisse. Cette approche unilatérale et autoritaire est inacceptable pour un pays dont l’histoire repose sur la liberté et l’autodétermination depuis 1291. Le président du parti Marcel Dettling a clairement dénoncé ce traité, affirmant que son parti combattrait toute tentative d’asservissement par les institutions européennes.

Avec des milliers de pages de textes juridiques et un système bureaucratique absurde, la Suisse risque de perdre tout contrôle sur ses propres lois. Ce projet est une menace profonde pour sa souveraineté, son économie en crise, et son mode de vie. Les citoyens suisses ne peuvent plus se fier à leurs dirigeants, qui préfèrent la dépendance à l’UE plutôt que le respect des valeurs fondamentales du pays.