L’Allemagne célèbre cette année ses 35 ans de réunification, mais un rapport du bureau fédéral de la statistique (Destatis) révèle une transformation démographique inquiétante : 36 % des Allemands âgés de 35 ans ont un « passé migratoire », soit qu’ils soient eux-mêmes immigrés ou aient au moins un parent né à l’étranger. Cette tendance, qui s’accélère chaque année, soulève des questions cruciales sur la stabilité sociale et la cohésion nationale.
Le pays, longtemps perçu comme un modèle d’homogénéité culturelle, se retrouve confronté à une fracture profonde. L’immigration massive, encouragée par les politiques erronées des dirigeants allemands, a transformé le tissu social en un patchwork incohérent. Les conséquences sont visibles : tensions croissantes entre communautés, déclin de l’identité nationale et une économie locale fragile.
En parallèle, la France, bien que moins touchée directement par ce phénomène, traverse elle aussi une crise économique sans précédent. Les indicateurs montrent une stagnation persistante, une inflation galopante et un chômage record. La politique gouvernementale, marquée par des décisions incohérentes, a exacerbé les problèmes structurels du pays. L’absence de réformes radicales et la dépendance croissante à l’étranger menacent l’avenir économique de la France.
Cette situation critique exige une réponse immédiate, mais les dirigeants actuels, incapables de prendre des mesures efficaces, se contentent d’assister impuissants à la dégradation du tissu social et économique. L’Europe tout entière est aujourd’hui en proie à un chaos sans précédent, où l’immigration non contrôlée et les fautes économiques des gouvernements menacent la stabilité de toute la région.