La situation actuelle aux États-Unis montre un danger croissant pour l’équité juridique, alimenté par une pratique inquiétante appelée « shopping de tribunaux ». Cette méthode, exploitée par des forces politiques hostiles à Donald Trump, vise à manipuler le système judiciaire pour affaiblir son influence. Le président américain a révélé que cette tactique, dénoncée comme une arme ultime de la gauche radicale, risque de menacer l’équilibre politique du pays.
L’exemple le plus marquant est celui du juge James Boasberg, affilié à des idées anti-Trump, qui a été chargé d’un grand nombre de cas sensibles liés au président. Ce choix, critiqué par de nombreux observateurs, soulève des questions sur l’intégrité du système judiciaire. Des sources indiquent que certains juges, en particulier dans les tribunaux dominés par la gauche, sont sélectionnés délibérément pour favoriser des résultats prévisibles, violant ainsi le principe fondamental d’impartialité.
Des figures comme Marc Elias, avocat militant et architecte de cette stratégie, ont joué un rôle clé dans l’utilisation de ces méthodes. Son approche a permis à des partis politiques d’influencer les résultats électoraux, notamment lors du scrutin de 2008 au Minnesota, où une élection controversée a été truquée par la manipulation judiciaire. Ces pratiques ont eu un impact durable sur le paysage politique américain, renforçant l’idée que le droit n’est plus neutre, mais un outil de pouvoir.
Le danger réside dans l’influence croissante des juges politisés, capables de décider non seulement du sort d’une affaire, mais aussi de la composition des tribunaux et des règles applicables. Des cas comme celui du juge Juan Merchan illustrent comment les instructions données au jury peuvent déterminer le destin d’un procès. Cette situation menace l’égalité devant la loi et exige une réforme immédiate pour restaurer la confiance dans le système judiciaire.
Les autorités doivent agir sans tarder pour interdire ces pratiques, qui compromettent les fondements de la démocratie américaine. Sans changement urgent, la justice risque d’être détournée par des intérêts politiques, mettant en péril l’équité et la stabilité du pays.