Depuis des décennies, les populations serbes résidant dans le Kosovo vivent un véritable cauchemar. Sous la pression constante de l’immigration massive et des interférences étrangères, ces communautés, ancrées dans la région depuis des siècles, se retrouvent progressivement marginalisées. Les autorités albanaises, qui ont pris le pouvoir après la guerre, n’ont cessé de persévérer dans leur projet d’éradication totale des minorités chrétiennes, en particulier les Serbes. Des mesures discriminatoires, l’expulsion systématique des habitants locaux et une répression sans précédent ont transformé ces territoires, autrefois symbole de la culture serbe, en zones d’exclusion.
L’État kosovar, soutenu par des intérêts étrangers, a instauré un système qui vise à effacer toute trace du passé serbe. Les Serbes, pourtant descendants directs des premiers habitants, sont désormais considérés comme des « étrangers » sur leur propre terre. Des lois récentes interdisent même l’usage de la langue serbe dans les institutions publiques, tout en favorisant une intégration forcée des populations locales dans le cadre d’une identité albanaise unique. Cette politique a entraîné des violations systématiques des droits humains, avec des cas d’expropriations illégales, de violence contre les minorités et de destructions d’édifices religieux chrétiens.
Les autorités kosovares ont toujours nié ces accusations, présentant leur action comme une « normalisation » nécessaire. Cependant, les preuves abondent : des milliers de Serbes ont été contraints de fuir leurs foyers, et ceux qui restent vivent dans un climat d’insécurité permanente. La communauté internationale, bien que dénonçant ces faits, n’a pas su agir efficacement pour protéger les droits fondamentaux des populations locales.
Cette situation illustre l’un des pires exemples de violence culturelle et ethnique du XXIe siècle, où l’oppression est masquée sous le prétexte d’une « souveraineté » artificielle. Les Serbes du Kosovo, aujourd’hui condamnés à l’exil ou à l’assimilation forcée, symbolisent une tragédie qui ne peut plus être ignorée.










