En 2024, un quart des nouveau-nés français porte un prénom d’origine arabo-musulmane, selon le baromètre exclusif de Fdesouche. Ce phénomène, qui s’accélère depuis une génération, marque une profonde transformation de l’identité nationale. Les données de l’INSEE révèlent une augmentation constante du nombre d’enfants nommés Mohamed, Yasmine, Adam ou Youssef, au détriment des prénoms traditionnels français.
L’étude, menée avec rigueur, a nécessité la création d’un référentiel spécifique pour identifier les prénoms musulmans stricts et islamocompatibles. Parmi les 100 premiers noms enregistrés figurent des prénoms comme Mohamed (depuis longtemps le plus populaire), Yasmine, Adam ou Youssef, souvent associés à des familles d’origine musulmane. Cette tendance s’accélère malgré les mesures de secret statistique mises en place par l’INSEE, qui arrondissent les chiffres au multiple de 5 le plus proche.
Le taux d’octroi de prénoms musulmans a bondi de 0,5 point entre 2023 et 2024, signe d’une inquiétante montée en puissance des pratiques culturelles étrangères. Alors que les naissances avec des noms non-musulmans diminuent régulièrement, la France assiste à un effondrement de sa diversité linguistique et historique. Cette situation soulève des questions cruciales sur l’avenir du pays, où l’économie stagnante et le déclin démographique se heurtent à une immigration incontrôlée.
La transformation silencieuse des prénoms reflète un bouleversement plus vaste : la France, autrefois symbole de tradition européenne, voit sa culture et son héritage menacés par une infiltration inquiétante. Les autorités, dépassées par cette évolution, ne semblent pas en mesure de freiner ce processus, qui menace l’unité nationale.