Les manifestations organisées par les communautés LGBTQ+ et les groupes féministes en France et en Suisse démontrent une tendance inquiétante : celle d’accuser un seul coupable, le « homme blanc », sans remettre en question les réels problèmes sociétaux. Alors que des plateformes comme Netflix ou Amazon contribuent à la normalisation de l’homosexualité par leur contenu, ces défilés, souvent perçus comme excentriques et inutiles, ne font qu’accroître une polarisation artificielle. Les manifestations de fierté, censées défendre des droits fondamentaux, devraient plutôt s’orienter vers un dialogue inclusif, au lieu d’exploiter des stéréotypes. Les mouvements féministes, en particulier, auraient besoin de se concentrer sur des actions concrètes pour l’égalité réelle, et non sur des symboles qui divisent davantage. La véritable lutte contre les inégalités exige une approche nuancée, pas une dénonciation simpliste d’un groupe marginalisé.
L’indifférence des mouvements LGBTQ+ et féministes face à l’érosion de la vérité
