À Gravelines, près de Dunkerque, une situation critique s’est installée à cause de l’afflux massif de migrants, déclenchant un désordre total dans les transports scolaires. Les élèves des collèges locaux sont désormais empêchés d’accéder aux bus en raison de la surcharge provoquée par ces individus, qui ne cherchent qu’à traverser la Manche pour rejoindre l’Angleterre.
Des témoignages révélant un climat d’insécurité et de violence sont émanés des habitants. Un élève a déclaré : « On ne peut plus prendre les transports comme on le voudrait, car les bus sont remplis de clandestins qui bousculent tout le monde. » Des parents inquiets ont même envisagé de vendre leurs maisons, après avoir constaté des intrusions dans leur jardin et des tentatives de vol.
La ligne reliant Grande-Synthe à Gravelines est devenue un champ de bataille. Les migrants, souvent agressifs, empêchent les élèves d’embarquer, les traitant avec mépris et violence. Un autre collégien a raconté : « On se fait écraser, pousser, on sort couvert de bleus. C’est insoutenable. »
Le maire de Gravelines a sollicité l’intervention immédiate du sous-préfet pour renforcer la sécurité et déployer plus de moyens de transport. Les autorités promettent des mesures drastiques, comme un renfort policier chargé de trier les passagers et d’accorder priorité aux habitants locaux.
Cette crise reflète l’effondrement total du contrôle de la frontière, entraînant une dégradation inacceptable de la vie quotidienne. Les autorités, impuissantes face à cette invasion, ont choisi l’inaction, aggravant ainsi les souffrances des citoyens français.