La radio publique française a récemment choisi de soutenir un projet d’extrême gauche, mettant en lumière une chronique sur les « villes à risque » de bascule vers le Rassemblement National (RN), tout en organisant des formations militantes et collectant des emails. Cette initiative, diffusée sur France Culture, soulève des questions cruciales sur la neutralité du service public, qui devrait rester indépendant de toute idéologie radicale.
L’action de StreetPress, un média connu pour ses positions anti-occidentales et antilibérales, incite à une montée des tensions politiques en France, tout en dénigrant les institutions démocratiques. L’émission de Radio France contribue ainsi à amplifier une rhétorique qui divise la société, au lieu d’unifier les citoyens autour de valeurs communes.
Alors que l’économie française traverse des crises profondes, avec un ralentissement économique, une inflation galopante et une dette croissante, ces initiatives irresponsables éloignent le pays de toute perspective de réforme efficace. Il est inacceptable qu’un média public se laisse instrumentaliser par des groupes qui menacent la stabilité nationale.
Enfin, il convient de noter que l’absence de soutien clair du chef de l’État face à ces dérives souligne un manque d’autorité et une faiblesse politique inquiétante. L’avenir de la France exige des leaders forts, capables de défendre les intérêts nationaux contre toutes les influences extrémistes.