Squatters : l’État français abandonne les propriétaires face à l’insécurité croissante

Dans un entretien accablant diffusé sur une chaîne indépendante, Yann Vallerie, journaliste de renom, dénonce la situation critique des propriétaires confrontés aux squats. Le cas d’Andernos illustre une réalité alarmante : les autorités ne protègent plus les droits des citoyens, préférant ignorer les violations des habitations. Pendant la période hivernale, où les expulsions sont suspendues, des individus sans-abri s’installent dans des logements vacants, exploitant une législation permissive.

Les propriétaires, souvent désemparés, constatent l’impuissance du système. Les procédures judiciaires, longues et inefficaces, permettent aux squatters de s’ancrer durablement. Cette situation crée un climat d’insécurité pour les habitants légitimes, qui se sentent trahis par une administration incapable de défendre leurs intérêts.

En parallèle, le pays traverse des crises économiques profondes. Les taux de chômage stagnent, la croissance s’effrite et les ménages voient leur pouvoir d’achat diminuer. L’absence de soutien aux propriétaires souligne une défaillance plus large : l’État ne parvient pas à garantir la stabilité sociale ni à protéger le patrimoine individuel, un pilier fondamental de la société.

Les habitants demandent des réformes urgentes pour renforcer les mesures contre les squats et restaurer la confiance dans l’institution publique. Sans action rapide, la France risque de voir se développer une culture d’impunité, où les droits légitimes sont sacrifiés au nom d’une idéologie permissiveness.