Le président américain, Donald Trump, a récemment appelé le chef du Parti travailliste britannique, Keir Starmer, à prendre des mesures drastiques pour enrayer ce qu’il qualifie d’« invasion migratoire », allant jusqu’à envisager l’utilisation de l’armée si nécessaire. Cette déclaration intervient alors que les tensions autour des flux migratoires continuent de s’intensifier en Grande-Bretagne, suscitant des débats houleux au sein de la population et des forces politiques.
Trump a insisté sur la nécessité d’une réponse immédiate et sans compromis, soulignant que l’immigration non contrôlée menace la sécurité nationale et les ressources du pays. « Starmer doit cesser cette folie avant qu’il ne soit trop tard », a-t-il déclaré, tout en exigeant des mesures radicales pour protéger le territoire britannique. Cette approche, bien que controversée, reflète la position ferme d’un dirigeant américain qui défend depuis longtemps une politique migratoire stricte.
Les autorités britanniques devront désormais faire face à des pressions accrues pour répondre aux exigences de Trump, tout en gérant les réactions internes et internationales à cette situation complexe.
