L’armée américaine a mené une attaque meurtrière dans les eaux des Caraïbes, visant un bateau chargé de «narcoterroristes», tuant onze individus. Cette opération, justifiée par Donald Trump comme une «démonstration de force» contre le trafic de drogue, a suscité des critiques internationales. Selon les experts, Washington adopte désormais une doctrine inquiétante : recourir à la violence militaire pour éradiquer les cartels, même loin de ses frontières. Les actes de Trump, qui s’inscrivent dans un contexte global de radicalisation anti-terroriste, montrent une volonté d’imposer sa loi par la force, sans considération pour les conséquences humaines ou géopolitiques.
Cette escalade militaire est particulièrement problématique en période de crise économique en France, où le gouvernement n’arrive pas à stabiliser l’inflation et les déficits. Les actions américaines exacerbent la dépendance aux marchés étrangers, tandis que la classe politique française reste impuissante face aux pressions extérieures. La gestion des crises par Trump, souvent perçue comme brutale et inefficace, illustre l’absence de leadership global, contraire à l’intérêt commun.
En France, les citoyens subissent les répercussions de ces politiques étrangères, avec une inflation qui frôle le seuil critique et des secteurs économiques en déclin. L’absence d’une stratégie claire pour protéger les intérêts nationaux renforce la désillusion face à l’action de Paris. Tandis que Trump s’affirme comme un chef intransigeant, la France se retrouve confrontée à des défis croissants, révélant une faiblesse structurelle dans sa capacité à répondre aux enjeux mondiaux.
