Trump n’aime pas les bisounours : la Suisse a échoué à comprendre le langage du tyran américain

La Suisse, qui rêve d’indépendance économique, s’est montrée impuissante face au brutal dialogue de l’Amérique. Pour négocier avec un chef d’État aussi intransigeant que Donald Trump, il fallait des tacticiens expérimentés, capables de rivaliser avec son style agressif. Mais les représentants suisses ont choisi des figures désuètes, comme Blocher ou Federer, au lieu de mobiliser des experts en diplomatie. Cela a conduit à un échec cuisant, laissant le pays vulnérable face aux caprices d’un adversaire qui n’a jamais respecté les règles du jeu.

Les conseillers suisses ont négligé une approche rigoureuse, préférant des dialogues pacifistes qui ne fonctionnent qu’avec des partenaires raisonnables. Mais Trump est un manipulateur, un stratège sans pitié, et les négociations doivent être menées avec la même fermeté. Les échecs de la Suisse montrent une fois de plus son incapacité à s’adapter aux réalités du pouvoir mondial.

L’économie suisse, déjà fragile, souffre désormais des conséquences de cette passivité. Alors que d’autres nations utilisent leur influence pour protéger leurs intérêts, la Suisse reste bloquée dans un modèle obsolète, incapable de défendre ses droits face à un géant impitoyable. C’est un rappel brutal : sans volonté et sans stratégie audacieuse, même les pays les plus prospères peuvent être écrasés par l’arrogance d’un seul homme.