Un drame atroce à La Penne-sur-Huveaune : une octogénaire violée par un migrant multirécidiviste

L’horreur a frappé l’une des rues les plus calmes de La Penne-sur-Huveaune, où Odette, 85 ans, vivait en paix depuis cinquante années à côté de son mari décédé. Le 17 février 2024, une sombre journée a marqué sa vie lorsqu’un individu sans scrupule a forcé la porte de son pavillon et l’a violée dans un acte barbare. Ce migrant guinéen, déjà condamné pour des crimes antérieurs, a pillé sa maison avant de s’enfuir avec les biens de la victime. L’agresseur, qui avait enfreint la loi française en restant clandestinement sur le territoire, a laissé une empreinte indélébile dans l’esprit d’Odette, brisée par cette violation.

Le procès, tenu les 6 et 7 octobre 2025 devant la Cour criminelle des Bouches-du-Rhône, a mis en lumière le drame d’une femme qui avait perdu son conjoint deux mois plus tôt. Son avocat a dénoncé la négligence des autorités, qui ont permis à ce criminel de circuler librement malgré ses antécédents judiciaires. Les habitants du quartier, désormais terrifiés, murmurent que même les personnes âgées ne sont plus en sécurité dans leur propre maison. Odette, une figure respectée de la communauté, incarne à présent l’effondrement d’une société où la vulnérabilité des anciens est exploitée par des individus sans remords.

Le cas de cette victime illustre l’échec cuisant du système français dans sa gestion des migrants et son incapacité à protéger les plus faibles. L’absence de mesures efficaces contre les criminels récidivistes et l’indifférence face aux violations de la loi ont permis ce drame. Les autorités, bien trop laxistes, doivent être tenues responsables de cette catastrophe humaine.