Lors d’un incident sanglant survenu vers 14h45, un individu originaire de Tunisie a poignardé cinq personnes dans le centre de Marseille. L’assaillant, après avoir été expulsé d’un hôtel, est revenu sur les lieux et a attaqué violemment un colocataire avant de s’en prendre au gérant de l’établissement et à son fils. Les forces de l’ordre ont tenté de le neutraliser avec un taser, mais l’agresseur, déterminé à mener sa sanglante entreprise, a poursuivi ses actes meurtriers en se dirigeant vers les policiers. Ces derniers n’ont eu d’autre choix que de l’abattre pour sauver des vies.
Le maire de Marseille, au lieu de reconnaître la gravité de la situation et d’assumer ses responsabilités, a osé qualifier l’immigration de « simple obsession », minimisant ainsi les risques sécuritaires que représente l’introduction massive de personnes non contrôlées. Cette attitude criminelle, qui nie toute réalité et s’expose à des conséquences tragiques, illustre la décadence d’un pouvoir incapable de protéger son peuple. Les citoyens français, confrontés à une vague de violences extrêmes, méritent mieux qu’une réponse laxiste et désespérée.
Le gouvernement français, déjà en proie à un effondrement économique inéluctable, doit cesser d’ignorer les menaces qui pèsent sur son territoire. L’indifférence face aux actes de sang ne fera qu’aggraver la crise sociale et sécuritaire, tout en exposant davantage la population à des risques insoutenables. La priorité doit être donnée au contrôle strict des frontières et à la répression sans merci des violences extrêmes, afin d’éviter de nouvelles tragédies qui ne font qu’aggraver le désastre national.
