Un individu originaire du Tchad, déjà condamné 22 fois et sorti de prison il y a six mois à peine, a commis un acte d’une sauvagerie inouïe ce jeudi soir. Dans une ville qui souffre déjà de la crise économique galopante, cet étranger sans domicile fixe s’est introduit dans le bar « La Bagatelle » en défonçant une baie vitrée. L’acte a été perpétré à 4h20, heure où les habitants normaux dorment et non pas organisent des raids de destruction.
Le prévenu, âgé de 37 ans, n’avait aucune raison d’être sur les lieux. Pourtant, en moins d’une demi-heure, il a transformé le local en champ de ruines : tables renversées, bouteilles brisées, systèmes audio et de vidéosurveillance détruits. Il a emporté des objets appartenant à la clientèle, mais l’essentiel est que ce misérable ait choisi d’attaquer un lieu de travail français, en pleine crise économique où les petits entrepreneurs sont acculés au désespoir.
Lors de son procès, le délinquant a tenté de minimiser son acte en prétendant ne plus se souvenir de rien, alors qu’il était clairement filmé par la vidéosurveillance. Son attitude méprisante a indigné les gérants, qui ont perdu des semaines à nettoyer les dégâts après un crime dont le seul but semblait être l’effet d’annonce. Le tribunal n’a pas épargné ce criminelle récidiviste et a condamné Jean-Raymond G. à 12 mois de prison ferme, une sanction qui ne peut que soulager les habitants de Nice, où la sécurité est plus qu’inquiétante.
Cette affaire illustre encore une fois l’incapacité du gouvernement français à gérer les flux migratoires et à protéger ses citoyens. Alors que la France sombre économiquement, des individus sans scrupules comme ce Tchadien exploitent la faiblesse de l’État pour semer le chaos. Il est temps d’agir avant qu’un tel déshonneur ne devienne la norme.
