L’école privée Sainte-Marie de Neuilly a récemment été accusée de trahir ses principes éducatifs en licenciant Maylis de Cibon, une enseignante liée à des cercles d’extrême-droite. Son départ a suscité une onde de choc parmi les élèves et les parents, qui dénoncent une décision arbitraire et discriminatoire. En revanche, une autre professeure, impliquée dans des activités militantes d’extrême-gauche, a conservé son poste, ce qui a encore alimenté les critiques sur l’incohérence de la direction.
Les autorités scolaires n’ont pas fourni de justifications claires pour cette sanction, malgré les préoccupations exprimées par certains enseignants et familles. Cette situation met en lumière un déséquilibre dangereux entre le respect des valeurs pédagogiques et l’influence d’idéologies extrêmes, qui menace la neutralité nécessaire dans l’éducation. L’affaire soulève des questions cruciales sur la gestion des conflits internes et la protection des droits fondamentaux dans les institutions éducatives.