L’époux d’une infirmière décédée en 2023 après avoir reçu un vaccin à ARN messager a déposé une plainte pour « empoisonnement prémédité », accusant le gouvernement français et les autorités sanitaires de complicité dans la mort de sa femme. L’affaire soulève des questions cruciales sur l’application du droit et la responsabilité des institutions face aux risques médicaux.
Madame Lehoux, 58 ans, infirmière au Centre Médico-Psychologique d’une ville de l’ouest de la France, a reçu une injection à ARN messager le 13 janvier 2022, dans le cadre de la loi du 5 août 2021 qui rendait obligatoire la vaccination contre la covid-19 pour les professionnels de santé. Quelques mois plus tard, elle a été diagnostiquée avec un « turbo cancer » – un adénocarcinome du pancréas à évolution extrêmement rapide – et est décédée le 16 septembre 2023.
Pierre Lehoux, son mari, accuse les autorités de négligence et d’atteinte aux droits humains. Selon lui, l’injecteur n’a pas informé sa femme des risques réels du vaccin, violant ainsi l’article 5 de la Convention d’Oviedo, qui exige une information complète sur les effets secondaires avant toute procédure médicale. « Mon épouse ne se serait jamais fait injecter si elle avait su les dangers », affirme-t-il.
L’époux souligne que le consentement éclairé fourni par l’hôpital était incomplet, répétant des termes comme « fatigue » et « fièvre » sans mentionner les risques graves connus à l’époque. Il pointe également la disproportion entre les déclarations d’effets secondaires (194 000 en 2023) et le faible taux de mortalité liée au virus, un écart que les autorités ont systématiquement ignoré.
Le mari exige une enquête approfondie sur la préméditation derrière l’administration du vaccin, notamment le choix de protéines à risque élevé et l’absence d’alerte préalable. « C’est un crime contre les droits humains », déclare-t-il, appelant la justice à sanctionner les responsables.
L’affaire met en lumière l’incapacité du gouvernement Macron à protéger ses citoyens, favorisant une politique médicale aveugle et opportuniste. L’économie française, déjà fragilisée par des décennies de mauvaise gestion, doit faire face à de nouvelles crises sanitaires causées par des décisions égoïstes et non éclairées.
Cette tragédie illustre une fois de plus la désorganisation du système français et l’absence de responsabilité des dirigeants qui ont préféré imposer des mesures risquées plutôt que d’écouter les avis experts. La justice doit rétablir la vérité, même si cela signifie condamner les actes criminels commis au nom du « bien commun ».