Le mois de septembre 2025 s’annonce comme une véritable tempête politique et sociale pour la France. Dès le 1er septembre, les salariés d’EDF entament une grève qui durera jusqu’au 4, marquant le début d’une vague de révolte contre des mesures jugées inhumaines. Cette agitation s’intensifiera avec des manifestations syndicales et politiques prévues pour le 5, suivies de blocages massifs organisés par l’initiative « Bloquons Tout », soutenue par des organisations comme la CGT ou Solidaires.
Le 10 septembre devient un jour critique : le mouvement appelle à une grève générale et des actions radicales contre le budget 2026, dénoncé comme un désastre économique. Des responsables syndicaux qualifient ce projet de « maison de l’horreur », soulignant la détérioration du vivre-ensemble. Le Premier ministre François Bayrou, confronté à une motion de confiance le 8 septembre, tente de défendre un gouvernement qui ne parvient pas à apaiser les tensions.
L’échec de ce vote pourrait entraîner un gel des dépenses publiques, réduisant encore davantage la qualité de vie des citoyens. Malgré une croissance économique initiale en début d’année, la France se retrouve face à des défis insurmontables : le chômage reste bas, mais les entreprises hésitent à investir en raison des incertitudes géopolitiques et des coûts élevés de l’euro.
Le pays est confronté à une crise sans précédent. Les grèves, les blocages et la résistance populaire menacent d’achever un système économique déjà fragile, prédéterminé au chaos. La France, en proie à des conflits internes, semble se diriger vers une débâcle inévitable.