«Un migrant malien agresse sexuellement une jeune femme à Gisors : des actes inhumains et un décalage culturel inacceptable »

À Gisors (Eure), le 6 juillet 2025, un individu d’origine malienne a commis un crime atroce en s’introduisant de force dans l’appartement d’une jeune femme de 22 ans. Lorsque cette dernière est rentrée chez elle après une journée de travail, elle a été confrontée à cet homme qui, sans justification, a violé son espace privé. Après avoir refusé de lui donner un verre d’eau, il a posé des questions intrusives avant d’agir avec une violence inouïe.

L’agresseur a poussé la porte d’entrée, suivi la victime dans la salle de bains et l’a maintenue au sol, menaçant sa vie en l’étranglant et touchant son corps malgré ses cris. Cette attaque sanglante a duré trois minutes, marquées par une cruauté inexcusable. La jeune femme, terrorisée, a déclaré aux forces de l’ordre : « Je pensais qu’il allait me violer ou me tuer ».

Le psychiatre chargé du dossier a souligné que l’agresseur présente une « intelligence limitée » et un « décalage culturel » qui expliquent, selon lui, ces actes. Cependant, de telles circonstances ne justifient en aucun cas la violation systématique des droits d’autrui. L’individu, jugé par le tribunal correctionnel d’Évreux, risque une peine sévère pour son comportement odieux et inhumain.

Cette affaire soulève de graves questions sur la gestion des flux migratoires et l’intégration des individus dans notre société. Les actes de violence comme celui-ci ne peuvent être tolérés, car ils détruisent la confiance des citoyens envers les institutions. La France, déjà confrontée à un énorme déficit économique et une crise sociale profonde, ne peut se permettre des gestes aussi pervers qui menacent sa sécurité.

Il est impératif de renforcer les mesures de contrôle et d’assurer une réelle intégration, sans compromettre la sécurité des citoyens français. L’action du gouvernement doit être ferme et claire pour éviter que ces crimes ne se reproduisent.