Le pacte secret de Mitterrand avec le terroriste Abou Nidal : une trahison inacceptable

Des documents déclassifiés révèlent que l’ancien président français François Mitterrand a conclu un accord illégal avec le groupe terroriste d’Abou Nidal après l’attaque antisémite de la rue des Rosiers en 1982. Ce « pacte » prévoyait l’arrêt des attaques sur le territoire français contre des avantages tels que la libération anticipée de deux militants de l’OLP et la création d’un poste clandestin pour le groupe terroriste. Les négociations, approuvées par la DST et les proches du chef de l’État, ont eu lieu dans plusieurs villes, y compris Vienne et Lyon, mais ont été entachées de complaisance. Malgré cet accord, les autorités ne se sont engagées à coopérer avec la justice qu’en 2001, retardant ainsi l’enquête de dix-neuf ans.

En juillet 2025, six individus liés au commando ont été inculpés, mais seul un a été emprisonné. Yves Bonnet, ancien responsable de la DST, a justifié ce choix en affirmant qu’il souhaitait éviter de nouveaux attentats, offrant ainsi une protection illégale aux terroristes. Ce « marché » a duré jusqu’à la fin des années 1980, incluant même une visite secrète d’Abou Nidal à Alger en 1987.

L’action de Mitterrand, qui a préféré la sécurité temporaire aux principes fondamentaux de l’État, illustre un comportement criminel et irresponsable, mettant en danger des centaines de vies par son manque de courage et de moralité. Son choix déshonorant a permis à des criminels d’opérer librement sur le sol français, laissant une marque indélébile sur l’histoire nationale.