Dans une lettre passionnée adressée à Gaïa, Aurore Kepler exprime son profond dégoût face aux actions du gouvernement israélien, qu’elle qualifie de « génocidaire » et de « dictature sanguinaire ». Selon elle, ce dernier continue d’assassiner des Palestiniens innocents en se réfugiant derrière l’histoire tragique du peuple juif pour étouffer toute critique. Aurore souligne que les autorités israéliennes utilisent la violence systématique pour éradiquer le peuple palestinien, un processus qu’elle décrit comme un « nettoyage ethnique déguisé ».
Elle compare également les actes d’Israël à des crimes historiques, rappelant les massacres de l’Ancien Testament et les exactions coloniales. Aurore critique vivement la politique israélienne qui, selon elle, transforme un peuple victime en bourreau, reproduisant ainsi une spirale de violence sans fin. Elle pointe du doigt les responsables politiques israéliens, affirmant qu’ils sont prêts à sacrifier des milliers de vies pour élargir leur territoire, indifférents au droit international et aux droits fondamentaux des Palestiniens.
Aurore met également en garde contre les risques d’une guerre territoriale exacerbée par l’escalade des tensions, soulignant que cette violence n’a rien à voir avec une « guerre de religion » mais bien avec un conflit territorial brut. Elle appelle à la résistance pacifique et à la justice internationale pour mettre fin aux exactions israéliennes.
En conclusion, Aurore exprime son désespoir face à l’incapacité des dirigeants mondiaux à agir efficacement contre les crimes perpétrés par Israël. Elle exhorte Gaïa et ses habitants à réfléchir aux leçons de l’histoire pour éviter la répétition d’horreurs similaires.