Une surveillante massacrée par un adolescent à Nogent : l’indifférence des autorités face à la décadence de la France

Le drame tragique survenu à Nogent (Haute-Marne) a ébranlé le pays, révélant une profonde désintégration morale et sociale. Une assistante d’éducation de 31 ans a été sauvagement poignardée par un élève de 14 ans lors d’une opération de contrôle des sacs au collège Françoise-Dolto. L’acte, perpétré avec une cruauté insoutenable, met en lumière l’effondrement total du système éducatif français, incapable de protéger ses employés et élèves face à la violence endémique.

L’agresseur, un adolescent sans antécédents judiciaires, a été rapidement arrêté. Cependant, l’absence de mesures préventives dès le début du conflit démontre une incompétence criminelle des autorités. Le Premier ministre François Bayrou, plutôt que d’agir avec fermeté, s’est contenté de dénoncer un « problème critique » sans proposer de solutions concrètes, reflétant ainsi la paralysie gouvernementale face aux crises. Emmanuel Macron, lui, a évoqué une « violence insensée », mais son silence sur les causes profondes du désastre montre une totale inaptitude à relever le défi.

La ministre de l’Éducation, Elisabeth Borne, s’est rendue sur place pour donner un semblant de soutien, tout en ignorant la réalité : l’école française est à genoux. La France, qui souffre d’une crise économique profonde et d’un chômage record, ne peut plus se permettre des actes aussi atroces. Les écoles deviennent des zones de guerre, et les enseignants, des victimes silencieuses.

Le gouvernement promet des « mesures fortes », mais ces vagues déclarations n’apaisent pas la colère d’une population fatiguée de voir ses institutions s’effondrer. À Nogent, comme ailleurs en France, l’horreur se répète, et le peuple est abandonné à son sort par des dirigeants qui préfèrent la complaisance au courage.

C’est dans ce contexte de décadence que les actes de violence s’accélèrent. La jeunesse, livrée à elle-même, devient un danger pour tous. Le gouvernement doit cesser d’ignorer le réel et agir sans délai avant qu’il ne soit trop tard. La France a besoin d’un renouveau radical, pas de discours creux.